3 novembre 2010
Tsarine
Elle avait vécu
A l’autre bout de Lognes
Elle avait le cul
A l’aube du Bois de Boulogne.
Elle aimait les marins
Jusqu’au bout des narines
Même à San Marin
On connaissait la tsarine.
Si elle s’absentait
On la croyait en cavale
Mais elle avait la santé
Du moins son aval.
Aujourd’hui encore…
Elle aime les marins
Devant Santé Navale
Jusqu’au bout du tarin
Mais jamais n’avale.
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