Les effets du tailleur

Il était précautionneux

Elle servait la citronnelle

Mais aussi boutonneux

Le soir sous la tonnelle.

Tout le jour il taillait

Cousait et coupait

Pendant qu’elle baillait

Vraiment quel toupet !

Elle lui coupait ses effets

A quoi bon se forcer

(Bon celui là c’est fait)

Il pensa à divorcer.

Il en parla à ses amis

Même à m’sieur le préfet

Ne les écouta qu’à demi

Et… ménagea ses effets !

Comments

[Dominique]

Dont acte monsieur Boudi.J'ai cru percevoir dans votre message de ce jour un semblant d'excuses, tout au moins le fait que vous n'avez pas voulu me blesser.OK, j'en prends note en espérant que cela vous serve de leçon à l'avenir et que vous réfléchirez à deux fois à la forme de vos critiques(à ce sujet, j'admet, comme vous le dites que votre 2 è message était plus soft).Vous dites aussi ne pas aimer ce qui se passe ici: je n'ai pas retenu les termes exacts mais c'était quelque chose comme "je n'aime pas ce confrernalisme":je vous rappelerai que c'est vous qui avez mis le feu aux poudres & ceux qui le désirent ont quand même bien droit de réagir!
Enfin pour revenir au fond sur votre critique,mon seul but, dans ces textes qui n'ont de poésie que le nom est de jouer avec les mots;& dans ce texte, mon objectif était de placer ceux concnernant les effets du tailleur, ce qui a été fait dans les 2 dernières strophes qui, effectivement n'ont, de ce fait, pas un caractère très poétique.L'incident est clos.Dominique

[Dominique]

Bisou Fransua et mon Touné.

[fransua]

coucou Jeff
j'irai voir le site de Boudi pour voir ce qu'il fait, mais je suis d'accord avec toi quand on n'aime pas on le dit une fois et puis on s'en va
moi je vais pas sur les blog qui ne me parlent pas
Bisou

[Antoine"touné"]

Monsieur quel toupet!
Sus à l'avis des frustrés
Banni, Boudi va retourner bouder!

Aucun doute pour ton Touné
T'es mon papa poete préféré!

Bisou Papounet

[Dominique]

Christina, merci.C'est vrai que si j'ai ouvert ce blog,c'est dans le but de m'amuser et si j'accepte, quoiqu'on en dise, la critique, je refuse la diatribe telle que cette personne l'a pratiquée à mon égard sur deux textes (je n'oublie pas que sur un précédent texte, cette personne a parlé de "merde").J'ai volontairement donné asile à cette personne afin de faire preuve de tolérance et justement de prouver que j'admettais la critique par le fait même d'en autoriser la publication, laissant aux visiteurs le soin de juger...
Mais sachez, monsieur que dorénavant vos éventuelles "observations" n'auront plus droit de cité: c'est un autre asile qu'il vous faudra trouver.
Adieu donc à vous et bienvenue à Christina.

Dominique