2 décembre 2008
Harry vrai berbère
On surnommait Harry
Le berbère :
Car que ce soit à Paris
Ou sur l’étang de Berre
Il prêchait dans le désert.
C’était pas une lumière
En plus pas trop disert
Certains le calomnièrent.
En plus la nuit lui coûtait
Que lui coûtait une nuit ?
Et comme nul ne l’écoutait
Il sombra dans l’ennui.
Il chercha le moyen
D’illuminer ses nuits
Faisant appel au doyen
De messieurs les inuites.
Le roi de la nuit polaire
Sur la fin de ses jours
Ne désirant pas lui plaire
Fut rabat joie et abat jour.
Notre Harry vrai berbère
Eut alors un éclair :
Créant à Paris le réverbère
Qui depuis lors nous éclaire.
Publicité
Publicité
Commentaires