30 avril 2008
L'absinthe de l'absent
Elle a de plus en plus souvent
De nombreux moments d’absence
Depuis que son éternel amant
Pour fêter ses rares présences
Lui a offert à Grande-Synthe
Cette liqueur vendue
Soit disant pour de l’absinthe :
Il s’était bien fendu.
Ce breuvage s’avéra en fait
Un véritable tord-boyaux.
C’est pourtant lui, stupéfait
Quel mauvais imbroglio
Qui en eut mal au ventre
Il s’était bien fendu
En partant de son antre
Et aimerait récupérer son dû
Car même si pas bu pas pris
Ce mauvais breuvage
Aurait plutôt mérité bas prix
Loin d’être un vintage.
Parfois les absinthes
Sont souvent à tord
Accusées, complainte,
D’avoir toujours tort
Il faut admettre à présent
Que l’absent avait eu tort
D’offrir cet imparfait présent
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